Qui sommes-nous ?

Nous sommes un collectif composé de familles tarnaises (81) ayant choisi d’assurer nous-mêmes l’instruction de nos enfants. Indépendant, sans étiquette politique et ne représentant aucune association, NonSco’llectif œuvre main dans la main avec toutes les associations et tous les collectifs existants, pour préserver une liberté qui nous est chère, celle de choisir le mode d’instruction délivré à nos enfants. Nous fonctionnons de manière collégiale. Il n’y a aucune hiérarchie ni responsabilité centralisée.

Une partie du NonSco'llectif

Nos familles sont diverses, et nous avons toutes et tous des manières différentes de pratiquer l’instruction en famille, du « unschooling » (apprentissages autonomes dirigés par l’enfant) à l’instruction plus scolaire. Mais nous partageons une chose fondamentale : la certitude que ce choix de l’IEF est le meilleur pour nos enfants. Nous avons organisé nos existences autour de cela, et parfois même changé de travail et de cadre de vie. Nous avons replacé nos enfants au centre de nos préoccupations… Nous leur consacrons beaucoup de temps et beaucoup d’énergie… Bref, nous avons fait un choix auquel nous tenons par-dessus tout.

Mais aujourd’hui, cette liberté est menacée par la nouvelle loi dite de lutte contre le séparatisme. Dans notre collectif, plusieurs familles ont déjà reçu un refus de pratiquer l’IEF pour l’un de leur enfant, tout en ayant le droit de poursuivre pour le ou les autre(s).

Face à cette profonde injustice, ce qui n’était qu’une bande de parents IEF ayant des affinités s’est transformé en collectif militant. Nous ne resterons pas les bras croisés face aux refus de l’administration !

Dans un premier temps, nous souhaitons faire face à l’urgence : aider les familles subissant un refus pour l’un de leurs enfants. Ces dernières se sont lancées dans une procédure judiciaire qui s’annonce coûteuse, financièrement, et émotionnellement. Nous nous tenons à leurs côtés et aux côtés de celles et ceux qui subissent le même sort.

Notre tribune du 22 juillet 2022 Notre tribune du 27 février 2023